Après deux jours de visites de temples, nous changeons un peu d'atmosphère et partons nous balader sur les bords du lac Tonlé Sap, pour découvrir Kampong Phluk, un village sur pilotis.
Sur le chemin du retour, nous nous arrêtons découvrir le groupe de temples Roluos. Cet ensemble de monuments constitue les restes de la première capitale de l'empire Khmer. Voilà qui clôture notre session de visite des temples du parc d'Angkor.
Après 4 jours passés à Siem Reap, nous rejoignons Phnom Penh, la capitale. Nous nous installons dans une charmante guest house du centre ville et partons découvrir les alentours.
Le lendemain, journée recueillement. Il faut savoir que Phnom Penh a une histoire chargée et tragique. Durant la guerre du Vietnam, la ville fut utilisée comme base par l'armée Viêt cong, et des milliers de réfugiés de tout le pays envahirent la ville pour fuir les combats. Pendant cinq années la ville fut enclavée, puis assiégée et bombardée par les troupes communistes.
En 1975, la ville tombe sous la coupe des Khmers rouges, Pol Pot prend alors les commandes du pays. Tout d'abord considérés comme une force libératrice, les Khmers rouges évacuent de force les 2 millions d'habitants de Phnom Penh vers les campagnes. Pendant près de quatre ans, ils font régner la terreur dans le pays, s'acharnant particulièrement sur la population urbaine et sur les intellectuels. Des prisons d'État sont instituées dans tout le pays. L'école Tuol Svay Prey à Phnom Penh fût transformée par les forces de Pol Pot en prison et en centre de torture S-21. Ce centre de détention voit passer, entre 1975 et 1979, plus de 20 000 détenus, dont beaucoup d'enfants. Les personnes internées sont ensuite menées au terrain d'exécution de Choeung Ek, à 17 km au sud-ouest de Phnom Penh, où se trouve aujourd'hui un mémorial contenant les ossements des victimes. Au total, plus d'un million et demi d’individus, soit près de 20 % de la population cambodgienne, périssent durant ces quatre années.
Nous visitons durant notre court séjour la prison et le camp d'exécution. Il est bien difficile de mettre des mots sur le sentiment que l'on ressent face à une telle atrocité. Nous sommes même incapables de faire des photos. Nous vous mettons donc seulement celle du mémorial de Choeung Ek.
Les Kualex!
Après 4 jours passés à Siem Reap, nous rejoignons Phnom Penh, la capitale. Nous nous installons dans une charmante guest house du centre ville et partons découvrir les alentours.
Le lendemain, journée recueillement. Il faut savoir que Phnom Penh a une histoire chargée et tragique. Durant la guerre du Vietnam, la ville fut utilisée comme base par l'armée Viêt cong, et des milliers de réfugiés de tout le pays envahirent la ville pour fuir les combats. Pendant cinq années la ville fut enclavée, puis assiégée et bombardée par les troupes communistes.
En 1975, la ville tombe sous la coupe des Khmers rouges, Pol Pot prend alors les commandes du pays. Tout d'abord considérés comme une force libératrice, les Khmers rouges évacuent de force les 2 millions d'habitants de Phnom Penh vers les campagnes. Pendant près de quatre ans, ils font régner la terreur dans le pays, s'acharnant particulièrement sur la population urbaine et sur les intellectuels. Des prisons d'État sont instituées dans tout le pays. L'école Tuol Svay Prey à Phnom Penh fût transformée par les forces de Pol Pot en prison et en centre de torture S-21. Ce centre de détention voit passer, entre 1975 et 1979, plus de 20 000 détenus, dont beaucoup d'enfants. Les personnes internées sont ensuite menées au terrain d'exécution de Choeung Ek, à 17 km au sud-ouest de Phnom Penh, où se trouve aujourd'hui un mémorial contenant les ossements des victimes. Au total, plus d'un million et demi d’individus, soit près de 20 % de la population cambodgienne, périssent durant ces quatre années.
Nous visitons durant notre court séjour la prison et le camp d'exécution. Il est bien difficile de mettre des mots sur le sentiment que l'on ressent face à une telle atrocité. Nous sommes même incapables de faire des photos. Nous vous mettons donc seulement celle du mémorial de Choeung Ek.
Les Kualex!